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S’abandonner à un « pour rien » premier
S’abandonner à un « pour rien » premier
Penser le « pour rien », est peut-être la tâche essentielle de la théologie, du moins protestante1. Créer pour rien, aimer pour rien, vivre pour rien. De gratuité.
De Pâques à Pentecôte
De Pâques à Pentecôte
Un temps de maturation en vue de notre capacité à répondre à l’appel de Dieu
Ecrire brise toute solitude
Ecrire brise toute solitude
C’est la parole qui met Dieu au monde.
Je suis qui je serai
Je suis qui je serai
Croire est trop souvent tourné vers le passé : on croit que quelque chose a eu lieu ou pas.
Se laisser vaincre
Se laisser vaincre
Suis-je la somme de mes actes, glorieux ou pas ? Puis-je opérer un tri, faire soustraction parmi mes divisions ? Comment me frayer un chemin du côté de la fraternité retrouvée ?
Qui est derrière le masque ?
Qui est derrière le masque ?
On a toujours besoin d’un petit publicain chez soi pour lui imputer le risque d’une possible infection…
Encore !
Encore !
« Laisse-lui encore un an. Je vais prendre soin de lui, et on verra… »
Le présent est le temps de la confiance
Le présent est le temps de la confiance
Ce qui donne son prix à la vie, c’est d’être limitée. Car c’est la condition de notre singularité. Nul n’est interchangeable parce qu’inscrit dans des limites propres.
Comment Dieu a-t-il décidé de conduire le monde ?
Comment Dieu a-t-il décidé de conduire le monde ?
Plaidoyer pour une meilleure compréhension de l’œuvre de Dieu
Vivre, c’est se risquer
Vivre, c’est se risquer
Mettre au monde, transmettre la vie c’est prendre ce risque.
Vivre délivré du poids du sacré
Vivre délivré du poids du sacré
L’Évangile est une parole qui prend chair dans notre réalité sécularisée. Pas dans la satisfaction religieuse d’un ordre recomposé par des dieux prometteurs, ni dans le refuge irénique d’un au-delà.
Différence ou altérité
Différence ou altérité
On croit souvent que notre identité tient à notre différence. Dès lors, on est tenté de la cultiver. Si bien qu’un jour on s’aperçoit qu’on est à son service.
Partager notre humanité
Partager notre humanité
« Toi, qui mets ta fierté en Dieu, qui connais sa volonté et qui, instruit par la loi, sais discerner ce qui est important, toi qui es persuadé d’être le guide des aveugles, la lumière de ceux qui sont dans les ténèbres, l’éducateur apte à corriger les gens déraisonnables, à instruire les tout-petits, parce que tu as dans la loi l’essence même de la connaissance et de la vérité, toi donc qui instruis les autres, tu ne t’instruis pas toi-même ! »1
Pouvoir ou pouvoir ?
Pouvoir ou pouvoir ?
Dieu peut tout, parce que Dieu perd tout.
Que ta « volonté » soit faite
Que ta « volonté » soit faite
Au fond de nous, rôde cette obscure confusion : quand je dis choisir la vie, pourquoi est-ce que j’entends : « à mort ! »
Les libertés publiques sont-elles actuellement en danger ?
Les libertés publiques sont-elles actuellement en danger ?
Parmi les Libertés publiques, il y en a deux qui comptent pour notre confession protestante, d’autant que nos prédécesseurs se sont battus pour elles : la liberté de conscience et la liberté de culte.
Devenir enfant de la grâce
Devenir enfant de la grâce
Infantiles. Infantiles, les vieux qui dénoncent un « agisme » discriminatoire et les autres qui fustigent les responsables (?) de la paralysie de leurs affaires, infantiles les plaintes et doléances qui de tous bords s’élèvent, imprécations vaines de n’avoir pas de destinataire : « on les brime ! » On, qui ça on ? L’autorité supposée savoir. Caprices de sales gosses qui s’en prennent à leurs parents de les protéger du feu qui brûle. On a tous été cela, quand on en a eu l’âge ! Mais, vous l’avez compris, ça m’insupporte chez des adultes
Dieu est un inattendu
Dieu est un inattendu
La résurrection c’est la naissance d’une nouvelle conscience de soi et du monde. C’est la nouveauté de ce que je crois quand tout ce que je croyais avant est mort.
Une dette ? Quelle dette ?
Une dette ? Quelle dette ?
S’il est un salut, c’est celui de nous délivrer de toute dette
La vraie vocation vient de Dieu seul
La vraie vocation vient de Dieu seul
Jons Ehrenreich Jeromine est issu d’un milieu très pauvre. Il a fait la première guerre mondiale, a vu des amis mourir et a rencontré Tobie, un pasteur. Celui-ci est en poste dans une paroisse de mineurs couverte de poussière. Son église n’est plus fréquentée que par les femmes et les enfants. Il attend que Dieu l’emmène là où IL veut. Jons, après ses études, est allé le retrouver. Ils prennent congé sur le quai de la gare.